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      Mon amour, ma rose !

    Mon amour, ma rose  

     

    Que ce soit le jour ou la nuit

    Que ce soit la chaleur ou la pluie

    Je t’offre mon poème et ma prose

    Uniquement, à toi ma rose

    Ma chère rose de toutes les roses

    Dans mon cœur tu te poses

    Ta vie c’est mon nid

    Ca suffit que tu souries,

    Que ce soit le jour ou la nuit

    Que ce soit la chaleur ou la pluie

    Tu es la rose de mon jardin

    Je t’arrose avec mes mains

    Je te mets dans mon cœur

    Je te couronne de toutes les fleurs

    Tu es ma prose et ma rose

    Au creux de mon cœur tu te poses;

    Que ce soit le jour ou la nuit

    Que ce soit la chaleur ou la pluie

    Tu es ma rose qui éclos

    Dans mes veines et mon sang

    Tu es princesse de toutes les roses

    Tu es ma vie et ma raison

    Tu t’envoles et tu te poses

    Comme le papillon qui se repose

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     balade pour un Cowboy solitaire

     

    Balade pour un cow-boy solitaire

     

    Nombre d'heures ont passé depuis que je suis né

    Je n'ai jamais vécu que pour y arriver

    Arriver à toucher ce qui fuit devant moi

    Ce brin de paradis qui égare mes pas

    J'ai laissé dans mon dos maintes filles d'un jour

    Échappant sans détour aux chaînes de l'amour

    Je n'ai pas de patrie, je n'ai pas de maison

    Je poursuis mon chemin, à travers les saisons

    Je survis dans l'espoir de pouvoir un matin

    Soudain m'apercevoir qu'après tout, j'ai atteint

    Ce bout de paradis qui toujours me fuyait

    Source de tant de pleurs par mes mains essuyés

    Pouvoir ouvrir les yeux sur mes rêves d'enfant

    Sentir dans mes cheveux, la liberté, le vent

    Sans même savoir pourquoi j'ai fait ce chemin

    Et sans me retourner, Le poursuivre à demain.

    Et ainsi, voyager, dans mes rêves, à jamais.

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      Les Souvenirs

    LES SOUVENIRS

    Il est des mots et des images qui restent gravées à jamais

    Comme un album de souvenir, dans ma mémoire ils sont stockés.

    Certains évoques des moments tendres,

    D’autres moins doux se font entendre.

    Mais même dans les moments tristesse

    Ce ne sont plus des mots qui blessent

    Ils ont perdu leur fils tranchants

    Ils ne font plus souffrir autant

      Sans doute ai-je assimilé

    Toutes ces choses qui font pleurer

    Et dans le livre de ma vie

    Que je feuillette quand vient la nuit

    Je me surprends à constater

    Les moments sombres sont fanés

    Ils déambulent dans mes pensées

    Noyés dans un brouillard épais.

    Alors que les moments bonheur

    Eux, ont su garder leur splendeur

    Je peux sentir encore la joie

    Que j’éprouvais ces moments là

    Alors que les douleurs vilaines

    Passent par là et puis s’éteignent.

    C’est un peu comme les nuages

    Qui passent sans qu’il y ait l’orage.

    Ils restent des pages vierges à mon livre

    Où j’y mettrais les moments à vivre

    Et je sais parce que j’ai appris

    Au fil des jours et de ma vie

    Que les épreuves qui m’attendent

    Viendront aux pages se suspendrent

    Et que mes heures de bonheur

    Y mettrons leur touche de couleur.

    Bien plus tard quand je serai vieille

    Ce livre sera ma merveille

    Je pourrai venir y relire

    Les pleurs de ma vie, et les rires

    Avec un air mélancolie,

    Je penserai à ses soucis

    Mais avec une grande sagesse

    Je savourerai ma vieillesse.

    Oh oui les peines font grandir

    Et font parties des souvenirs

    Parce que la vie est ainsi faite

    De belle victoires et défaites.

    Gourmande

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    Liberté

     

    Liberté

     Sur mes cahiers d’écolier

    Sur mon pupitre et les arbres

    Sur le sable sur la neige

    J’écris ton nom

    Sur toutes les pages lues

     Sur toutes les pages blanches

    Pierre sang papier ou cendre

    J’écris ton nom

    Sur les images dorées

    Sur les armes des guerriers

    Sur la couronne des rois

    J’écris ton nom

    Sur la jungle et le désert

    Sur les nids sur les genêts

    Sur l’écho de mon enfance

    J’écris ton nom

    Sur les merveilles des nuits

    Sur le pain blanc des journées

    Sur les saisons fiancées

    J’écris ton nom

    Sur tous mes chiffons d’azur

    Sur l’étang soleil moisi

    Sur le lac lune vivante

    J’écris ton nom

    Sur les champs sur l’horizon

    Sur les ailes des oiseaux

    Et sur le moulin des ombres

    J’écris ton nom

    Sur chaque bouffée d’aurore

    Sur la mer sur les bateaux

    Sur la montagne démente

    J’écris ton nom

    Sur la mousse des nuages

    Sur les sueurs de l’orage

    Sur la pluie épaisse et fade

    J’écris ton nom

    Sur les formes scintillantes

    Sur les cloches des couleurs

    Sur la vérité physique

    J’écris ton nom

    Sur les sentiers éveillés

    Sur les routes déployées

    Sur les places qui débordent

    J’écris ton nom

    Sur la lampe qui s’allume

    Sur la lampe qui s’éteint

    Sur mes maisons réunies

    J’écris ton nom

    Sur le fruit coupé en deux

    Du miroir et de ma chambre

    Sur mon lit coquille vide

    J’écris ton nom

    Sur mon chien gourmand et tendre

    Sur ses oreilles dressées

    Sur sa patte maladroite

    J’écris ton nom

    Sur le tremplin de ma porte

    Sur les objets familiers

    Sur le flot du feu béni

    J’écris ton nom

    Sur toute chair accordée

    Sur le front de mes amis

    Sur chaque main qui se tend

    J’écris ton nom

    Sur la vitre des surprises

    Sur les lèvres attentives

    Bien au-dessus du silence

    J’écris ton nom

    Sur mes refuges détruits

    Sur mes phares écroulés

    Sur les murs de mon ennui

    J’écris ton nom

    Sur l’absence sans désir

    Sur la solitude nue

    Sur les marches de la mort

    J’écris ton nom

    Sur la santé revenue

    Sur le risque disparu

    Sur l’espoir sans souvenir

    J’écris ton nom

    Et par le pouvoir d’un mot

    Je recommence ma vie

    Je suis né pour te connaître

    Pour te nommer Liberté.

     Cadre Manola

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     LE MOUSSE

     

    Ho hé, hisse et ho !

    Quelle belle vie que celle d’un mousse

    Quand on est l’fils de Barbe-rousse !

    Dans le petit foc, je m’la coule douce,

    Rien à craindre, personne ne m’pousse.

    J’adore border la brigantine,

    Courser le chat dans la cuisine,

    Faire du trapèze sur la grande vergue,

    Danser la gigue avec l’vieux bègue.

    Toujours l'premier dans la hune

    J’hume les embruns, siffle la lune,

    J’arrache les plumes du goéland,

    Echoué sur l’gaillard d’avant.

    Et quel bonheur quand vers midi,

    Surgit la proue d’un ennemi.

    Je donne l’alerte, sonne le branle-bas,

    Puis file en cale, traquer les rats.

    Tandis qu’au loin, on s’tue et pille,

    Je joue aux billes, parfois aux quilles

    Et guette au chaud l'moment divin,

    Où ‘Pa ramène un gros butin.

    Sur l’pont de l’aube au soleil couchant,

    La vie d’pirate n’est qu’un jeu d’enfant.

    Quelle belle vie que celle d’un mousse

    Quand on est l’fils de Barberousse !

    Elsa

      Cadre Manola

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     La Dame Blanche

     

    La châtelaine est de retour

    Tout là-haut sur la grande tour,

    Vêtue d'habits couleur de brume

    Elle conte au ciel son infortune.

    Dans un coupé fait de nuages,

    Elle traverse le paysage :

    Silhouette blanche et rayon bleu

    S'enroulant dans ses longs cheveux.

    La revoilà sur son domaine

    Où elle revient en souveraine,

    Le front orné d'un diadème

    Sous les étoiles elle se promène.

    Ombre diaphane qui lentement

    Glisse et s'installe dans le vent,

    Elle est venue une fois encore

    Dans ces lieux au triste décor.

    Que cherche-t-elle dans ce silence,

    La longue et belle dame blanche ?

    Cherche-t-elle ses amours passés

    Dans ce vieux château délabré ?

    Le vieux château est à la peine,

    Ne reste plus qu'un noir donjon

    Et s'en repart la châtelaine :

    Ce n'était rien qu'une illusion.

      Cadre Manola

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    Plateau de cinéma

     

    C’est du cinéma

    Effets spéciaux, fausses cascades

    Le cinéma c’est du bidon

    Rixes,bagarres et empoignades

    Le spectateur est le dindon

    Le grand écran c’est la magie

    Scènes d’amour et volupté

    Beaux sentiments et nostalgie

    Pour les amants la liberté

    Sur le plateau la mise en scène

    Sous le regard du producteur

    Qui joue le rôle de mécène

    De grand patron, de dictateur

    Les comédiens sont des vedettes

    Fausses ingénues et vrais méchants

    Des assassins et des soubrettes

    Que de caprices, de penchants

    Metteur en scène qui déprime

    Les travellings ont déraillé

    Un vieil acteur veut une prime

    Refusant d’être débraillé

    La scripte tortille des fesses

    Un assistant lui fait la cour

    Le chef cadreur fait des prouesses

    En filmant la scène d’amour

    Papier, carton, polystyrène

    Pour les décors en trompe-l’œil

    Sur le plateau c’est une arène

    Pour figurants gonflés d’orgueil

    Écrit par Ironimots

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     La Danseuse

     

    LA DANSEUSE

    Son corps souple évolue dans l'espace magique

    Notes noires et blanches au son de la musique

    Telle liane élastique irradie sa plastique

    Harmonies légères volent dans ses voiles

    Dans la douce atmosphère des lumières irréelles

    Elles se lance sur la scène la jolie hirondelle

    S'envole dans les ors comme divine étoile

    Dans les ors du décor emportant en accords

    Rythmes des cymbales et autres mélopées

    Immense symphonie magistrale envolée

    De ces blancs corps à corps lancés comme ténors

    A l'assaut des accords des partitions géniales

    Qui magistralement d'un geste orchestré

    Fusent de toute part dans la salle envoutée

    Qui n'a d'yeux que pour elle la danseuse royale

    Tout le théâtre dort s'éteignent les lumières

    Mais dans un coin de scène s'éveille

    le mystère Un pied dans un soulier de satin enroulé

    Surgit alors de l'ombre pas chassés coups frappés

    Et la danseuse sort du magique décor

    Qui l'enfermait encor sous les lumières d'or

    Elle n'est plus que oiseau aux plumes de Phénix

    Elle renait à nouveau hors de l'écrin d'Onyx

    Machajol

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    Amour !d'asie

     

    SI LA VIE EST UN SONGE

    Si la vie est un songe

    A quoi bon me tourmenter

    Je puis m'enivrer sans remords

    Et si j'en viens à tituber

    Je m'endormirai sous le porche de ma demeure

    A mon réveil un oiseau chante parmi les fleurs.

    Je lui demande quel jour nous sommes.

    Il me répond : au printemps, la saison où l'oiseau chante 

    Je me sens étrangement ému

    Et prêt à m'épancher.

    Mais je me reverse à boire

    Et je chante tout le jour

    Jusqu'à ce qu'apparaisse la lune du soir.

    Et quand mes chants se taisent

    Je n'ai plus conscience de ce qui m'entoure
     

     

     

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    La scéance de cinéma

     

    Je la vois Je la sens

    Elle vit dans mes tourments

    Elle vit au rythme de ma vie

    Chaque seconde lui est acquis

    Plus je vis plus elle grandit

    J'ai mal au cœur

    Dois-je la suivre du fond de mon malheur ?

    Dois-je lui dire que malgré mon jeune âge

    Je veux partir avec courage

    Elle me chuchote au creux de mon oreille

    Des paroles pleines de merveilles

    Je sens que je ne vais pouvoir résisté

    A son pouvoir enchanté

    Je me laisse aller au fond de mon lit

    Elle vient me chercher avec envie

    Je n'ai plus qu'à me laisser faire

    Car ce soir elle a gagné le bras de fer.

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