-
Les sept nains
La princesse Blanche-Neige,
Chez les sept nains qui la protègent
Lave, nettoie, époussète,
Sept fois un, sept.
Lorsqu’une vieille aux jambes torses,
Sept fois deux, quatorze.
Lui dit : « Prends ce beau fruit, tiens ! »
Sept fois trois, vingt et un.
Mais un des nains frappe à la vitre,
Sept fois quatre, vingt-huit.
Et lui dit : "Garde-toi bien,
Sept fois cinq, trente cinq.
De mordre à ce fruit dangereux,
Sept fois six, quarante-deux.
C’est un poison qu’elle t’offre !"
Sept fois sept, quarante-neuf.
La vieille, dans les airs, s’enfuit
Sept fois huit, cinquante-six.
Et la Princesse des bois,
Sept fois neuf, soixante-trois.
Est sauvée par ses amis,
Sept fois dix, soixante-dix.
Jean TARDIEU
votre commentaire -
Vierge Immaculée,
Marie, Lumière et Gloire du Mont Carmel,
Jetez sur moi un regard de bonté,
Et gardez-moi Votre protection maternelle.
Fortifiez ma faiblesse pour Votre puissance,
Et dissipez par votre lumière Les ténèbres de mon cœur.
Augmentez en moi la Foi, L’espérance et la Charité.
Ornez mon âme de toutes les vertus
Afin qu’elle devienne de plus en plus
Chère a Votre Fils Divin
Assistez-moi pendant la vie,
Consolez-moi de votre présence
A l’heure de la mort,
Et présentez- moi à la Sainte Trinité,
Comme votre enfant,
Afin que je puisse vous Louer,
Et vous Glorifier éternellement Dans le ciel
votre commentaire -
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Pour traverser mon miroir.
J'aimerai m'endormir doucement, dans tes bras,
Qui m'ont tenue pendant toutes ses années.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Ma vie aura été merveilleuse auprès de toi.
Je veux que tes yeux gardent au fond de ton cœur,
L'amour, la tendresse, la complicité de nos bons moments.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Je m'endormirai doucement pour un long voyage,
Un voyage sans retour,
Mon cœur plein d'amour pour toi.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Ton amour, m'aidera à quitter ce monde,
Cette prison de mille barreaux autour de moi,
Où je n'ai pas trouvé ma place auprès des autres.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Sans peur, car mon cœur sait que tu m'aimes,
Avec regrets, pour toute la souffrance endurée
Au milieu de personnes sans compréhension.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Me laissant bercer dans tes bras,
Me murmurant des mots d'amour,
Me consolant comme tu l'as fait si souvent.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Je veux que tu sois là,
Auprès de moi, pour m'accompagner,
Jusqu'au bout de mon chemin.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Je fermerai les yeux, ton visage devant moi,
Pour ce long voyage sans toi,
Mourir avec ton amour.
Un jour, je partirai au-delà des nuages,
Les années nous poursuivent,
Mais notre amour restera à jamais,
Dans nos cœurs, car notre amour est puissant.
votre commentaire -
Je fais glisser ma plume doucement,
Pour briser le silence de mon cœur,
En balançant les mots, les uns derrières les autres,
Afin de ne plus sentir ce fardeau du passé.
Je parle doucement à ma page,
Pour dévoiler tous mes ressentis,
Et vole au-dessus des mots,
Pour rendre mes sentiments limpides.
Je n'attends rien en retour,
Simplement je dévoile ce que mon cœur ressent,
Pour panser mes blessures si profondes,
Les mots font partis de mon moi.
Ma feuille, ma plume sont mes amis,
Une thérapie qui soulage mes maux,
Mes tourments s'envolent au-delà de ma feuille,
En grattant le papier, je me dévoile.
Les blessures de ma vie s'estompent,
Au fil des lignes écrites,
Mais rien, ne pourra changer le passé,
Il est là, bien réel.
Ma vie tremble sous mon crayon,
Mes yeux s'emplissent de larmes,
Mon cœur bondit au fond de moi,
Doucement, j'accepte mon passé.
Mon écriture est ma guérison,
Une façon de me libérer de ma prison,
Afin de me soulager de ce fardeau,
Et trouver au fond de moi la paix.
Mes lignes, c'est croire à mon avenir,
Mes mots, c'est croire à la guérison,
Ma feuille, c'est croire en moi,
Ma main, est là pour le témoigner.
2 commentaires -
... Mon testament de tendresse .....
Puisque ma vie, ne durera pas !
Elle achève déjà ....
Je retournerai, comme tous, renaître poussière
Je te demanderais, de faire, ô toi mon amour .....
Pour moi ces gestes, une autre fois sur notre terre....
Notre terre, si belle mais, si souffrante déjà !
Voilà, j'aurai, de là-haut, encore besoin de toi
Je n'aurai plus, tu le sais, ni mains, ni pieds
Pour travailler notre terre, la cultiver ou l'aimer
Plus de pieds pour courir nos doux sentiers
Plus de bras pour étreindre .... encore une fois..
Par tes mains, je veux toucher mes enfants
Par tes doigts , je veux toucher mes frères
Par tes yeux, je veux me voir à la rivière
Par tes lèvres, je veux boire le sel de la mer ...
Par tes jambes, je viendrai aider en courant...
Par ton cœur, je saurai aimer tous les miens
Par tes paroles, je saurai encore enseigner
Par tes bras, je donnerai le courage aux blessés
Par ta présence, je réconforterai les esseulés ...
Par ta prière, je serai celle parmi les siens
Puisque ma vie se termine, à toi je te confie
Cette difficile tâche ! Toi seul, peut l' accomplir...
Les gens ne verront que ton visage, ton sourire
Je serai près de toi ... je serai ton souvenir
À toi, je confie désormais mon âme et ma vie ....
votre commentaire -
Aux âmes sœurs et jumelles...
Un regard, un sourire, une rencontre quelque part,
Au temps des souvenirs !
On ne sait où ? On ne sait quand ?
Un peu partout, de tous les temps !
Même sans se voir,
Ni se parler, on le sait, on se connaît !
Dans les yeux de l'autre un miroir,...
Où les cœurs viennent se refléter !
Une autre histoire,
Ou encore la même qui vient indéfiniment se répéter !
Deux cœurs meurtris, qui ne peuvent s'aimer !
Au temps des souvenirs,
Deux âmes qui veulent seulement se retrouver !
Un jour peut-être seront-elles réunies ?
Peut être..un jour..ou dans une autre vie?
L'ont-elles déjà été ?
Ou se sont-elles déjà trouvées ?
Les sentiments n'ont pas d'âge !
Les sentiments n'ont pas de frontières !
A travers le temps et l'espace ils voyagent,
Les âmes-sœurs, du temps, ne sont jamais prisonnières !
Céline Acker.
votre commentaire -
Une nouvelle vie
lI est fini le temps des larmes,
A quémander un peu de bonheur,
Là aujourd'hui, je prends les armes,
Pour mener ma vie en couleur,
Il est fini le temps des regrets,
A me bercer de souvenirs,
Le temps qui passe ne revient jamais,
Je préfère choisir mon avenir,
Il est fini le temps de chercher,
Un zeste de reconnaissance,
Je préfère vraiment partager,
Et ne plus vivre dans l'espérance,
Il est fini le temps d'attendre,
Une main tendue pour me relever,
Je me suis trop perdue à me rendre,
A des êtres qui m'ont ignorée,
Il est fini le temps des peurs,
A échapper à ce qui est là,
J'ose et je vis à cent à l'heure,
Et la confiance s'installe en moi,
Il est fini le temps de l'enfance,
Mais ça ne m'empêche pas de jouer,
Ni de tenter enfin ma chance,
Dans ce manège fait pour danser,
Il est venu le temps de la joie,
Le temps d'aimer, le temps d'être bien,
Il est venu le temps d'être moi,
Pour ne plus jamais lâcher ma main.
votre commentaire -
Les trois fillettes
La première se prénomme Pourquoi ?
La seconde Comment ?
la dernière Quand ?
Il était une fois trois petites filles
Qui vivaient dans un monde
Où les adultes n'existaient pas !!
Dés que les enfants devenaient grand
Il disparaissaient !!
Alors ces enfants devaient tout découvrir par eux même
Le pourquoi du comment ??? était leur quotidien
Et ils devaient constamment chercher et chercher encore Toutes les réponses !!!
Si bien que leur imaginaire ne cessait de fonctionner
Et même dans leur sommeil
Ils pensaient au Pourquoi du comment ???
Ces enfants, ne sont plus vraiment des enfants
Mais des génies, qui grandissent seul
Sans Amour, sans chaleur....
Dans un monde où il n'y à plus d'adultes pour les guider
!!!
Hellonana vous invite à la réflexion Est ce un monde enviable que celui ci ???
votre commentaire -
J'ai appris...
J'ai appris à ne parler, Que lorsque les mots sont utiles,
Pour éviter de dénigrer, Le silence qui se veut utile,
J'ai appris à donner, Lorsque le respect est présent,
Pour ne plus être utilisée, À moindre coût à mes dépens,
J'ai appris à recevoir, Lorsque le don se veut sincère,
Et qu'il n'attend pas d'avoir, Un retour qui serait éphémère,
J'ai appris à dire non, Lorsque le oui demande à s'enfuir,
Pour ne pas être condition, D'attentions contre mon plaisir,
J'ai appris à me respecter, Pour ne jamais être soumise,
Afin d'apprendre à mieux aimer, Pour que les peines ne s'éternisent,
J'ai appris à être responsable, De mes erreurs et belles actions,
Pour ne plus me sentir coupable, Et évoluer dans le bon,
Et quand je repense à l'enfant, Que j'étais encore ce matin,
Je me dis qu'il était grand temps, De me prendre enfin par la main.
votre commentaire -
Douloureux souvenir
Comme un vol âcre et criard d'oiseaux en émoi
Cette chanson emporte mes pleurs, mes regrets,
Tous mes souvenirs s'abattent crûment sur moi,
Et mon cœur pleure ces douloureuses pensées.
Si loin de ton regard et si loin de tes mains,
Par-delà cette chanson mon cœur se souvient,
Ton regard si élégant aux couleurs noisette,
Ton visage dans ma mémoire se reflète.
Le deuil est étendu sur ce chant douloureux
De cet oiseau qui fut mon premier grand Amour,
Et qui sérine encore comme au premier jour
L’aubade que fut nos sentiments mélodieux.
Chanson de pleurs, de sanglots et emplie de peur
Semblable aux cris lointains de l’atroce douleur,
M’envahissant de ces maints frissons qui m’enlacent,
Au rythme que nos derniers souvenirs s’effacent.
Clic pour vérifier
votre commentaire