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Le soleil se couche sur Les dunes.
Le souffle chaud du désert se pose sur la peau,
comme un baume soyeux et voluptueux.
Les paysages nous sont offert comme un présent,
de couleurs d'ocre et de vert.
Doucement, lentement, glissent les bateaux sur,
Le Nil, fleuve nourricier.
Au loin une pyramide pointe vers ce ciel si étoilé.
Ho Égypte, terre des Dieux et des légendes,
Pays lointain de mes rêves !
Jamais je ne serais lassé de contempler tes merveilles.
Je t'offre la beauté de cette Égypte à toi mon amie, qui partage cette passion avec moi !
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Sur le jaune océan des sables sans rivage,
O Nil, fils du soleil ! O Nil, père des eaux !
Tu déploies lentement ta crinière sauvage
A travers les palmiers ensanglantés d'oiseaux.Ton éternel cristal s'écoule avec emphase,
Brisé d'un crocodile aux sursauts véhéments,
La gazelle qui nage en ton clair firmament
Broute les blancs lotus, où l'étoile s'embrase.Un transparent sorcier chaque année t'exorcise
Et transmue tes saphirs en déluge de sang.
Sur son trône de feu la pyramide assise
Jette vers ta souffrance un rêve éblouissant.La nuit, lorsque la lune incarne ton délire,
Nephtys, déesse sombre aux ailes d'épervier,
Vient laver ses cheveux que les enfers pâlirent...
O Dieux ! L’âme des morts pullule en tes viviers !Tes flots vertigineux s'échappent hors du nombre ;
Tu nais aux monts sacrés où les lacs bouillonnants
Déroulant leur spirale illimitée dans l'ombre,
Vont rejoindre la flamme au cœur des continents.Les nefs qui transportaient les tendres pharaonnes
Dans l'étincellement des bijoux et des cors,
Sous la voile éclatée où les brises frissonnent,
En tes reflets d'éther vivent-elles encor ?Immuable géant, tu vis avec dédain
Les lourds guerriers d'Azur passer sur leurs cavales !
Leurs casques foudroyés, tu les roulas soudain
O vainqueur ! par le fier fracas de tes cymbales.Dans ton gouffre fatal sont venus s'engloutir
Les purs vautours de Perse et les louves de Rome.
Tes sycomores d'or ne cessent de gémir
Sur la pâle Byzance aux brûlants hippodromes.Lorsque dans l'avenir le désert triomphant
Sur les ruines de l'homme étendra sa colère,
Quand Eve pleurera ses ultimes enfants
Dont les cadavres noirs fondront dans les tonnerres ;Quand tout sera tombé, les cités et les dieux,
Les usines d'acier, les églises d'albâtre,
Quand des astres nouveaux terrifieront nos cieux
Près d'un morne soleil aux longs sanglots rougeâtres,Empereur de la vie, tu couleras toujours
A travers l' inconnu frisson des térébinthes,
Parmi les monstres nés du mystère des jours
Dont ta voix triomphale emportera les plaintes...
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Des gens dansent main dans la main,
Si heureux de pouvoir chanter
Des paroles où le chagrin
A laissé place à la gaieté.En les regardant de plus près,
On voit qu'ils sont très différents,
Hommes, femmes, noirs, jaunes, blancs,
Juifs, musulmans et que jamaisIls ne se regardent méchamment.
Bien au contraire, en dansant,
Ils semblent tellement joyeuxQue rien ne pourrait séparer
Ces gens qui aiment chanter,
Se tenir par la main, heureux.
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Tu apparais merveilleux à l'horizon du ciel
Toi ATON vivant, commencement de la vie.
Tu es grand, gracieux, brillant au-dessus de tous pays,
Comme tu es Rê, tu atteins la fin de tous,
et aucun des hommes ne connais tes voies.Lorsqu'à l'horizon de l'Occident tu disparais,
le pays entre dans les ténèbres et semble mort.
L'obscurité devient un linceul et le silence couvre la TerreA l'aube lorsque tu te lèves à l'horizon
par tes rayons tu chasses l'obscurité.
Arbres et plantes fleurissent
les oiseaux s'envolent de les
les poissons dans la rivière sautent devant tes bras
les poussins sortent de leur coquille pour te parlerO Dieu Unique, semblable à nul autre,
Seul, Tu as créé le monde selon ton désire
tu donnes à chaque homme le nécessaire,Tu calcules le temps de chaque vie
et tu as créé les hommes différents
par leur nature et leur couleur de peau.Tu as créé un Nil dans les cieux pour les étrangers
il arrose les champs, fructifie les graines,
et renouvelle le limon des montagnesO Seigneur d'éternité !
Tes rayons allaitent chaque prairieTu as fait des millions de formes de toi-même
Tu es " Aton, lumière du jour " sur la Terre
Tu as rempli mon cœur en lui donnant
la connaissance de ton savoir et ta force.
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Ah ! Puisses-tu te hâter vers ton amie,
comme le messager du roi,
dont le maître attend avec impatience le message
qu'il désire entendre.
Pour lui, des écuries entières sont harnachées.
Pour lui, des chevaux sont maintenus au relais.
Et le char est prêt, dans lequel il se tient.
Il ne doit pas s'arrêter en route.
Lorsqu'il atteint la demeure de la bien-aimée,
son cœur se livre à la joie.
Ah ! Puisses-tu venir à moi,
comme un cheval du roi,
choisi entre tous :
la gloire de l'écurie.
Il reçoit le meilleur fourrage,
son maître connaît son pied,
lorsqu'il entend le fouet,
on ne peut l'arrêter.
Le meilleur des conducteurs de char
ne peut le dépasser.
Le cœur de l'amant sait bien
qu'il n'est pas éloigné de son amie.
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Belle ! Belle ! Isis par ce poème .
je viens te rendre hommage et respect
Isis , ho ,Isis ne soit pas troublée,
belle Isis aux ailes déployées
devant ce ciel étoilé
en position d inné respect
tu ouvres tes ailes parées
comme pour arrêter
devant nous , enfants nés
le mal libéré avec ses méfaits
ton autorité le stop inné
belle Isis aux ailes déployée
toi qui veille sur nous acharnée
de ton passé a ce renouveau laid
les dieux de l Égypte t ont aimée
par ta sagesse , ton amour et ta beauté
belle Isis aux ailes déployées
dans notre monde ta vie peut continuer
a voir ,observer et regarder
ce que le temps a donné aux hommes nés
leurs valeurs , leur consciences dans un destin bouché
d éducations et d êtres abandonnes
Isis ..Ho! Isis ne soit pas troubléede ce monde aux constants insatisfaits
aux règles de vies mal gérées
tes ailes belle Isis ne seront jamais souillées
ta vie et ton âme énoncée
resteront toujours la splendeur d’un passe
a ce monde ou on t implorait et t adorait
belle Isis dans ce monde imparfait
je viens par ce poème dédicacé
te rendre amour et respects
comme au lointain temps passé
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Je suis celle qui possède la rame dans la barque du commandement.
La souveraine de vie,
Guide de la lumière sur les belles routes,
Je suis celle qui fixe les câbles devant les gouvernails, sur les routes de l'Occident,
Je suis la Troisième,
La souveraine de brillance,
Celle qui guide le grand qui est épuisé sur les routes des éveillés.
Je suis celle qui possède la splendeur sur les routes du ciel nuageux.
Je suis celle qui possède les vents dans l'île de la joie, Je suis celle qui possède des avirons,
Qui guide ceux qui sont dans leurs cavernes,
Je suis Hathor,
Souveraine du ciel du nord,
Qui fixe les câbles des éveillés,
Je suis une place de quiétude pour celui qui pratique la justesse.
Un bac pour ses élus,
Celle qui crée la barque pour traverser le juste."
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Paris le paradis
Plus je te regarde dans les yeux
Et plus je suis amoureux
L'homme le plus chanceux
C'est un moment merveilleux
Ta voix, tes gestes, ta douceur
Tout sa en délicatesse venant de ton cœur
Me rend fou de toi et le meilleur
Mon amour Paris le paradis
C'est qu'ensemble, c'est le bonheur
Jamais je n'ai vécu sa avant
Tout comme mes sentiments
Là c'est un rêve se réalisant
Avec toi que j'aime passionnément
Je sais ce que je veux à présent
T'avoir à mes côtés éternellement
Prendre soin de toi et de notre amour
Faire de chaque jour le plus beau sans détour
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Toi, l'amour ou es-tu?
Toi, l'amour tend attendu.
M'aurais tu oublier?
Je ne demande qu'à être aimé
Toi l'amour pourquoi es-tu si loin?
Toi, l'amour montre toi même au lointain
Pourquoi m'as-tu abandonné?
Moi qui ne demande qu'a aimer
Toi, l'amour ne m'oublie pas
Toi, l'amour vient jusqu’à moi
Mes bras sont grand ouverts
Et n'attendent plus que toi
Mais hélas, je t'ai tant attendu
Et tu n'es pas venu
Je n'ai que mes yeux pour pleurer
Et mon cœur saigne à jamais.
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Jeunesse, si je veux te retrouver dans mes rêves,
Bien avant qu'un jour gris ne se lève,
Je n'ai plus qu'à penser fortement à mes roses...
Alors le temps bascule, l'ombre disparaît soudain!
Avec fougue, ma plume accourt dans le jardin,
Pour redessiner en encre mes quotidiennes proses...
Rose que j'effeuille, j'accueille ce retour,
Voici donc mes dix-huit ans et un premier amour,
Presque une enfant, Domi tête toute bouclée...
Dont l'âme avait cette candeur de mille pétales blancs,
Allez savoir pourquoi, mes doigts redeviennent tremblants,
Et n'osent encore frôler cette mémoire immaculée...
Mais l'audace change avec le temps, n'est-ce pas roses-thé?
L'audace, cet élixir de fausse virilité,
N'accorde à mon existence qu'une petite amourette...
Aux galants rendez-vous, étreintes retenues par l'envie
De la rose couleur chair moite des chaudes nuits,
Je froisse d'encre encore ses corolles discrètes...
Ma jeunesse est loin, et ce loin et lointain..
Souvenirs de quoi remplissez-vous le coeur humain
Sinon d'illusions maladroitement poursuivies...
Mais depuis une rose carmin, exquise,
A fait fondre par son velours somptueux ma banquise,
En illuminant par son aura, mon âme et ma vie...
Timilo
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