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    De douceur, de bonheur...

    Là où se trouve l'amitié Il y a des mots de tendresse...

    Elle est source d'énergie

    Comme l'eau qui coule d'un ruisseau

    Elle peut franchir de grandes distances

    Et transformer comme par magie une tristesse en joie

    Rire, pleurer s'exprimer, se laisser aller quand l'amitié vient

    Gardes-la dans ton cœur......

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    Je rêve Je rêve de voler comme un oiseau

    Et être noir comme un corbeau

    Je rêve de voler dans le ciel

    Avec mes petites ailes

    Je rêve de rester enfant

    Et ne jamais devenir grand

    Je ne veux pas grandir

    Mais je veux rétrécir

    Je rêve de voyager tout le temps

    Et de ne pas voir passer le temps

    Mais les rêves restent des rêves

    Et ne se réalisent jamais.

    DIANA BERKOUTOV

     

     

     

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    Le fleuve

     

     

    Laissons-nous emporter par le fleuve des choses ;
    Laissons tourner les ans et s’effeuiller les roses !

     

     

    L’Immensité profonde est belle à regarder,
    Qu’elle soit l’océan ou l’éther bleu plein d’astres ;

     

     

    Mais le chemin des cieux est couvert de désastres,
    Et la mer a des puits que l’on ne peut sonder.

     

     

    Laissons-nous emporter par le fleuve des choses ;
    Laissons tourner les ans et s’effeuiller les roses !

     

     

    Les sublimes douleurs sont belles à chanter,
    Lorsque d’un noble but l’âme noble est éprise ;

     

    Mais, sous l’effort des doigts, souvent le luth se brise,
    Et malheur au chanteur forcé de s’arrêter !

     

     

     

     

    Laissons-nous emporter par le fleuve des choses ;
    Laissons tourner les ans et s’effeuiller les roses !

     

     

    La palme de la gloire est belle à désirer ;
    Mais la cime est abrupte où son laurier se dresse,

     

     

    Et malheur au rêveur, sans force ou sans adresse ;
    Il glisse, et sur les rocs il se va déchirer !

     

     

    Laissons-nous emporter par le fleuve des choses ;
    Laissons tourner les ans et s’effeuiller les roses !

     

     

     

    La Lyre a son orgueil ; la Science a son prix ;
    Mais votre amour vaut mieux, ô ma Mère, ô mon Père 

     

     

    C’est par vous que je crois, c’est par vous que j’espère ;
    Dieu me restait obscur : par vous je l’ai compris !

     

    Laissons-nous emporter par le fleuve des choses ;
    Laissons tourner les ans et s’effeuiller les roses !

     

    Philéas Lebesgue.

     

     

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