Tel deux oiseaux sur la branche, toi et moi, partageons l'amitié !

Sentiment, simple et sincère !

Si rare et précieux !

toi généreuse et moi à l'écoute !

Nous aidant, nous soutenant, jours après jours !

Que cette complicité soit longue ! voici mon souhait !

bises d'Hellonana !

Si tu es triste

Écris quelques mots.

Mets-les dans une bouteille.

Puis jette-la dans l’océan de l’internet.

La bouteille échouera sur une page du net.

Et quelqu’un te lira.

Ce sera peut être moi.

Toi l’enfant que nous n’avons pas eu !

Tu sais ton père et moi, t’avons tant désiré !!

Tant espéré !

Jamais je n’ai baissé les bras, j’ai tout tenté.

Ma vie n’a été qu’un combat durant plusieurs années.

Ho mon tout petit, mes bras t’espérais tellement.

Tout mon corps t’appelait désespérément.

Quelles douleurs, ce vide ! Ce creux béant !

Où rien ne voulais prendre racine.

Mais pourquoi, nous ? Qu’avons-nous fait ?

Quand à bout de force, et au désespoir !

Mon corps à dit stop !!

J’ai sombré, dans ce précipice que l’on nomme dépression !

Ton papa cachait sa pêne, et m’aimait encore plus fort.

Mais l’amour ne suffit pas toujours.

La grâce du seigneur, le miracle de la vie.

N’est pas passé par chez nous !!!

Hellonana.

Vous entre l’enfant et la femme

Ne savez pas combien l’enfance est belle !

Votre âge, si léger que vous voudriez l’oublié

Ne vous hâtez pas de mûrir vos pensées

Profiter tu matin et jouissez du printemps

Ne les pousser pas à passer trop vîtes

Laissez venir ces années et votre destin se dessiner

Ne plisser pas votre front, par des amours compliqués

Que vos yeux brillants soit le miroir de l’innocence

Gardez encore pour quelques années

Cette âme pure et tellement légère

   Hellonana. 

Le parc

Je me souviens de ce grand parc ?

Nous descendions ces allées ombragées

Comme protégés d’une alcôve de verdure

Tu plaçais tes pas dans les miens

A notre rythme nous allions gentiment

Sur le chemin de l’amitié

Accompagné du chant des oiseaux

Là je déposais toute la tension accumulé

Plus rien ne comptait que toi et moi

Ma si fidèle compagne, qui rien qu’au regard

Que tu posais sur moi, savait si j’étais triste ou pas

Pourquoi les années sont passées si vite

Hier encore j’étais prête à prendre ta laisse

Qui est resté accrocher à sa place

Mais toi, tu ma quitter pour ton ultime voyage

Alors ce parc, tant aimé hier

N’a plus cet effet si apaisant

Il à juste une odeur de regret que tu ne sois plus là

Ma papette.

 Hellonana