• Elles s'appelaient Maëlys et Fiona

    Julie et Mélissa

    Sohane et Loubna

    Holly et Jessica...

    Elles ne se connaissaient pas

    Mais partagent désormais

    Un triste point commun

    Celui d'avoir croisé ton chemin,

    Assassin !

    L'homme est parait-il depuis toujours

    Supérieur aux animaux

    Pourtant, aucun dans la nature

    N'engendre de tels maux !

    Pourrais-tu m'expliquer

    Ce qui ne va pas en toi

    Pour que tu en sois un jour arrivé là !

    Tu as piétiné avec cynisme et mépris

    Ces roses à peine écloses au jardin de la vie

    Et tes avocats, bien sûr, vont s'empresser de trouver

    Quelques tares atténuant ta  responsabilité...

    Mais n'est-il pas risqué de si facilement excuser

    Tes actes monstrueux et ta perversité ?

    Aucune condamnation ne pourra jamais effacer

    L'océan de souffrances que tu as provoqué

    Et beaucoup, comme moi, ne pardonneront jamais

    Ta dérive écœurante, ta froideur et ta cruauté.

    Sache que souvent je pense avec regret

    Au temps pas si ancien

    Où la guillotine aurait tranché

    Ton destin d'assassin.

    http://reves-de-plume-23.eklablog.com/

     

     

     


    votre commentaire
  • Une histoire d'Amour

    Tout à commencer par une naissance

    aimé et sur aimé, un lien invisible qui unis deux âmes à la vie à la mort 

    Toutes ces années n'ont pas été lissent et sans turbulences

    vous pensez bien une mère et une fille ça fait des étincelles

    Mais ce lien invisible est d'une résistance immense

    C'est bien ce qui me fait souffrir autant aujourd'hui

     

    Je me suis rendue comte très vite que quelque chose n'allais pas

    On à poser un nom sur ce mal être , ce trouble ...

    Alzheimer ...

    c'est un mot, qui n’a l'aire de rien, une maladie invisible

    Un futur raccourcis, un grand vide, l'inconnue 

    Puis une fois l'annonce passée , une révolte, pourquoi nous ? pourquoi après toutes ces années

    de vie difficile, tourmenté, parfois si plaine de souffrance

    mais si riche en amour !!!

    Pourquoi, ???  je ne compte pas les jours ou j'ai craqués , pleuré tout mon chagrin en voiture, seul loin de tous ...

     

    Cette histoire d'Amour elle la notre , oui elle est exclusive et la d'un coup...

    je sais que je vais devoir avancer seul, combattre jour après jour pour faire reculer cette saleté de maladie qui ronge de l'intérieur 

    qui prend une à une ses cellules .

     

    Ma fois, oui moi je m'en aperçois parce que personne ne la connais plus que moi

    Elle fait illusion et on est en connivence continuel 

    Un regard, un signe de tête , elle se raccroche à moi comme à une bouée

    dans cette océan, qui est la vie autour d'elle qui continue d'avancer

    et d'avancer encore et encore ....

    Main dans la main, on va faire tout ce que l'on à envie , tout et toute suite

    pas demain, non !!!!

    On parle, on évoque les souvenirs , je devient la dépositaire de ces morceaux de passé ...

    J'ai une envie boulimique de tout noter, j'ai peur de passer à côté d'une histoire, d'un morceau de vie; de sa vie, de n'importe quel récits !! tous est précieux pour moi.

     

    On traverse, les étapes de cette maladie qui sont autant  de blessures que je reçois directement en plein cœur

    Je rage, j’étouffe, je m'en veux de ne pas être plus solide, de pas savoir faire, de ne pas être  plus ...

    A secours, j'ai mal ...

    Il faut mettre en place un traitement, mal-grès tous mes efforts , toutes mon énergie et tout mon Amour

    Cette maladie continue sont travail de sape 

    Parfois j'ai une personne en face de moi, qui est tu ?

    ma maman ne me parlerais pas comme ça ! c'est pas possible

    Belle, droite, coquette tout en discrétion en modération, voilà l'image de maman

     

    Une chose me ravage, la perte de son regard ....

    Et puis le dialogue qui s’éteint, la déconnexion , fini nos échanges, je ne perd pas seulement ma mère, mais ma  meilleur amie, ma confidente 

    J'ai tendance à la protéger , j'entoure mes bras autour d'elle ! au propre comme au figuré, je l'entoure au risque de trop en faire , je le sais !!!

    mais dite moi vous 

    comment faire pour moins aimé ça maman, parce que moi là  ... j'ai qu'une envie

    faire que le temps s’arrête que les horloges nous oublies .

    Je me sent comme au bord d'un précipice , demain me fais si peur

    que j'en perds toutes mes certitudes

    Je veux être la, jusqu'au bout .

    Bien sur je suis perdue, c'est quoi le bout ?

    Le bout de ma force, le bout de la vie, le bout de notre histoire d'Amour

    Oui j'ai un grand travail à faire sur moi, des nuits à imaginé la suite

    la suite ..... la suite seul


    2 commentaires
  •  

      

    C'était un gamin, un gosse de Paris,
    Pour famille il n'avait qu' sa mère
    Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
    Par les chagrins et la misère
    Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
    Et le cher bambin tous les dimanche
    Lui apportait de belles roses blanches,
    Au lieu d'acheter des joujoux
    La câlinant bien tendrement,
    Il disait en les lui donnant :

     

    Les Roses Blanches Video:
    Paroles de Les Roses Blanches C'était un gamin, un gosse de Paris,
    Pour famille il n'avait qu' sa mère
    Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
    Par les chagrins et la misère
    Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
    Et le cher bambin tous les dimanche
    Lui apportait de belles roses blanches,
    Au lieu d'acheter des joujoux
    La câlinant bien tendrement,
    Il disait en les lui donnant :
    PUBLICITÉ

    "C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
    Voici des roses blanches, toi qui les aime tant
    Va quand je serai grand, j'achèterai au marchand
    Toutes ses roses blanches, pour toi jolie maman"

    Au printemps dernier, le destin brutal,
    Vint frapper la blonde ouvrière
    Elle tomba malade et pour l'hôpital,
    Le gamin vit partir sa mère
    Un matin d'avril parmi les promeneurs
    N'ayant plus un sous dans sa poche
    Sur un marché tout tremblant le pauvre mioche,
    Furtivement vola des fleurs
    La marchande l'ayant surpris,
    En baissant la tête, il lui dit :

    "C'est aujourd'hui dimanche et j'allais voir maman
    J'ai pris ces roses blanches elle les aime tant
    Sur son petit lit blanc, là-bas elle m'attend
    J'ai pris ces roses blanches, pour ma jolie maman"

    La marchande émue, doucement lui dit,
    "Emporte-les je te les donne"
    Elle l'embrassa et l'enfant partit,
    Tout rayonnant qu'on le pardonne
    Puis à l'hôpital il vint en courant,
    Pour offrir les fleurs à sa mère
    Mais en le voyant, une infirmière,
    Tout bas lui dit "Tu n'as plus de maman"
    Et le gamin s'agenouillant dit,
    Devant le petit lit blanc :

    "C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
    Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
    Et quand tu t'en iras, au grand jardin là-bas
    Toutes ces roses blanches, tu les emporteras"

     

     Cadre Manola

     

    Pin It

    3 commentaires
  • Une nouvelle journée est comme une feuille blanche. Remplis la de couleurs et de personnages souriants ! Fais preuve d'imagination pour créer le plus beau des dessins ! Je t'envoie des crayons de couleurs virtuels pour embellir ta journée !

    Chaque jour est un nouveau chapitre de la vie. Il nous apporte de nouveaux suspenses, de nouveaux personnages, de nouvelles énigmes à résoudre. Vis chaque instant avec passion afin d'écrire la plus belle des histoires. Je te souhaite une bonne journée !

    Recette pour avoir une bonne journée. Ingrédients : Sourire, rires, bonne humeur, gaîté. Préparation : mélanger tous les ingrédients en quantité égale et verser le contenu dans votre vie. Résultat final : une merveilleuse journée !
     

    Le sourire c'est de l’électricité. La vie est une batterie. A chaque fois que tu souris la batterie se recharge et une belle journée s’enclenche ! Passe une excellente journée !

    Chaque instant est un cadeau ! Voila pourquoi nous l'appelons le présent ! Bonne journée !
     
     Cadre Manola
    Pin It

    6 commentaires
  • Pin It

    votre commentaire
  • Contre La Corida !!

     

    La Corrida

     

    Les cuivres ont sonné dans le ciel de Séville,

    Réveillant les ardeurs des fougueux Andalous,

    Séduisants Hidalgos au regard qui pétille,

    Aux lèvres mi-closes cachant des dents de loup.

    De ces loups assoiffés du sang de leur victime,

    Pauvre bête élevée pour n’avoir qu’un seul sort,

    Et qui en un seul jour, en un combat ultime,

    N’a jamais qu’un seul choix : y rencontrer la mort.

     

    Il arrive au galop au centre de l’arène,

    Effrayé par les cris qui montent des gradins

    sa tête balance au son des tambourins.

    Il regarde au lointain les capes couleur d’or,

    Qu’agitent devant lui les banderilleros,

    Il entend annoncer l’entrée du picador,

    Qu’accueillent les vivats des aficionados.

     

    Il ressent, au garrot, une brûlure intense,

    Que provoque la pique enfoncée dans sa chair,

    Douleur qui disparaît, puis revient la souffrance

    La banderille a jailli semblable à l'éclair.

    Le sang suinte alors de l’échine luisante

    Du robuste animal, face au grand matador

    Mesurant du regard cette masse puissante,

    Qui gratte du sabot le sable au reflet d’or.

     

    Puis se déclenche enfin une danse infernale,

    La rouge muleta voltige devant lui,

    Comme pour endormir cette force brutale,

    Dissimulant le fer sur qui le soleil luit.

    Le brillant torero place les véroniques,

    Faisant virevolter le pauvre être affolé,

    Tandis que dans les airs s’élève la musique,

    Paso Doble endiablé que rythme les "Olé!".

     

    Le silence est tombé, voilà que devant nous,

    L'estocade a soudain fait tonner les bravos,

    Quand devant son vainqueur il plie les deux genoux,

    Qui nous dira jamais, ce que sent le taureau.

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Ma France

     

    Ma France

     

     Français je suis, je m’en vante,

    Et très haut, très clair, très fort,

    Je le redis et le chante.

     

    Oui, je suis Français d’abord.

    Mais, n’ayez soupçon ni doute,

    Pour le loyal que je suis,

    La France, où mon âme est toute,

     

    Ma France, c’est mon pays.

    Ma France, l’intime France,

    C’est mon foyer, mon berceau,

    C’est le lieu de ma naissance,

    Dans ce qu’il a de plus beau ;

     

    C’est la terre où s’enracine L’érable national,

    C’est le ciel où se dessine La croix du clocher natal.

    La douce image de l’autre

    Tremble encore dans nos yeux.

     

    Laquelle aimé-je ? La nôtre ?

    Je les aime toutes deux !

    Indivisibles patries,

    Ces deux Frances, pour toujours,

     

    De tout notre coeur chéries,

    Ne font qu’une en nos amours.

    Qu’un lâche à sa race mente ;

     

    Moi, je suis Français d’abord.

    Je le dis et je le chante

    Très haut, très clair, et très fort.

     

    Mais, n’ayez soupçon ni doute,

    Pour le loyal que je suis,

    La France où mon âme est toute,

    Ma France, c’est mon pays.

     

    Nérée Beauchemin, Patrie intime

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •   

     
     J'ai adopter un humain aujourd'hui

    J'ai adopté un HumainAujourd'hui

     

    Ses yeux ont rencontré les miens alors qu’elle marchait le long du couloir en regardant avec appréhension les différentes cages.

    J’ai ressenti immédiatement son manque et j’ai su que je devais l’aider.

    J’ai remué ma queue, pas d’une manière trop exubérante pour ne pas l’effrayer.

    Quand elle s’est arrêté devant mon enclos, j’ai masqué à sa vue le petit accident que j’avais eu au fond de ma cage.

    Je ne voulais par qu’elle sache que je n‘étais pas sorti aujourd’hui.

    Parfois, les employés du refuge sont tellement débordés et je ne voulais pas qu’elle pense du mal d’eux.

    Elle a lu ma fiche d’identité et j’espérais qu’elle ne se serait pas trop triste à cause de mon histoire.

    Je n’ai que le futur à envisager et je veux être utile dans la vie de quelqu’un.

    Elle s’est mise à genoux et a fait des petits bruits de bisous vers moi.

    J’ai frotté mon épaule et le côté de ma tête vers les barreaux afin de la consoler.

    Ses doigts m’ont doucement caressé le cou.

    Elle semblait désespérément rechercher une compagnie.

    Une larme a coulé de sa joue et j’ai levé ma patte pour lui assurer que tout irait bien.

    Très vite la porte de ma cage s’est ouverte et son sourire était si radieux que j’ai sauté dans ses bras sans attendre.

    Je lui ai promis de prendre soin d’elle, je lui ai promis d’être toujours à ses côtés, je lui ai promis de faire tout ce que je pourrais afin de voir ce sourire rayonnant et ces yeux pétillants sur son visage.

    J’ai eu tellement de chance qu’elle traverse mon couloir, il y en a tellement dehors qui ne sont jamais venu dans ces couloirs.

    Tellement à sauver encore.

    Au moins j’en aurai sauvé une.

    J’ai secouru un être humain aujourd’hui.

    Pin It

    votre commentaire
  •  

       

    la Dépression ....

     

    Tu souffre en silence

    Tu cache ta démence

    Tu cries, tu rage à l’intérieur

    Tu souris pour camoufler tes peurs

    Tu garde la tête haute, comme si de rien n’était

    Tu continues d’avancer, comme si tout était parfait

    Le regard vide, mais envahi d’une lueur d’espoir

    Que ce malheur s’estompe, que disparaisse ce noir

    Chaque fois, tu retombes un peu plus bas

    Chaque fois, tu y crois malgré que tu ne veuilles pas

    Tu cherche quelqu’un ou quelque chose pour te raccrocher

    Une petite attention, un petit signe pour continuer d’espérer

    T’écris quelques phrases pour te libérer

    T’écris quelques mots pour te soulager

    Tu cherches à tout prix à te consoler

    Un moyen, une solution pour ne pas sombrer.....

     

    Pensé pour tous ceux qui souffre de cette maladie qui est la dépression, qu'elle soit déclarer ou bien enfoui au plus profond de soi, sournoise prête à éclater... en rémission, en crise aigu .....elle accompagne des milliers de gens.

    Clic pour vérifier

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     Don d'oragane ...

    Toi mon coeur

    Je te perdrais un matin si tes galops vont trop loin.

    Toi, mon coeur ta cage va se briser vers le bleu tu vas voler.

    Toi, mon coeur je t'entends loin dans mes nuits j'ai parfois peur de ton bruit.

    Toi, mon coeur danse avec le pas des morts au pays du temps qui dort ;

    Lui, cet homme son temps s'arrêta soudain dans un accident de train.

    Lui, cet homme son coeur quʼon m'a transplanté continue de voyager.

    Lui, cet homme m'a ouvert son infini sa mort m'a donné la vie.

    Lui, cet homme avec moi il marche encore peut être aime-t-il encore.

     

    Juliette Clochelune

     0_bc172_ba370bb1_L.png

     

     Si j’avais à donner

    Un organe à ma mort Je donnerais mon cœur.

    Lors de la panne finale J’aurais plus besoin de mon corps

    J’apaiserais d’autres douleurs.

    Donner de soi À notre vie finie

    Pour faire de vous, de toi Un être à plusieurs vies.

    Ce serait une chance De profiter de cette malchance.

    Sauver des personnes En faisant don de soi

    Y’ a pas mort d’hommes À part que je donne

    De ma propre « pomme ».

    Rien que pour vous, pour toi.

    Servez-vous, Même de mes artères

    Car j’en aurai que faire.

    En moi, prenez Mes poumons et mon foie,

    Comme si on changeait une courroie.

    Grâce à cet honorable geste

    À la vie, vous reviendrez

    Et en vous, je resterais

    Comme si de mes cendres,

    Je renaîtrais !

    index.jpg  Clic pour vérifier

    Pin It

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique