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Par hellonana le 20 Février 2018 à 15:32
Elles s'appelaient Maëlys et Fiona
Julie et Mélissa
Sohane et Loubna
Holly et Jessica...
Elles ne se connaissaient pas
Mais partagent désormais
Un triste point commun
Celui d'avoir croisé ton chemin,
Assassin !
L'homme est parait-il depuis toujours
Supérieur aux animaux
Pourtant, aucun dans la nature
N'engendre de tels maux !
Pourrais-tu m'expliquer
Ce qui ne va pas en toi
Pour que tu en sois un jour arrivé là !
Tu as piétiné avec cynisme et mépris
Ces roses à peine écloses au jardin de la vie
Et tes avocats, bien sûr, vont s'empresser de trouver
Quelques tares atténuant ta responsabilité...
Mais n'est-il pas risqué de si facilement excuser
Tes actes monstrueux et ta perversité ?
Aucune condamnation ne pourra jamais effacer
L'océan de souffrances que tu as provoqué
Et beaucoup, comme moi, ne pardonneront jamais
Ta dérive écœurante, ta froideur et ta cruauté.
Sache que souvent je pense avec regret
Au temps pas si ancien
Où la guillotine aurait tranché
Ton destin d'assassin.
http://reves-de-plume-23.eklablog.com/
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Par hellonana le 10 Janvier 2018 à 13:30
Une histoire d'Amour
Tout à commencer par une naissance
aimé et sur aimé, un lien invisible qui unis deux âmes à la vie à la mort
Toutes ces années n'ont pas été lissent et sans turbulences
vous pensez bien une mère et une fille ça fait des étincelles
Mais ce lien invisible est d'une résistance immense
C'est bien ce qui me fait souffrir autant aujourd'hui
Je me suis rendue comte très vite que quelque chose n'allais pas
On à poser un nom sur ce mal être , ce trouble ...
Alzheimer ...
c'est un mot, qui n’a l'aire de rien, une maladie invisible
Un futur raccourcis, un grand vide, l'inconnue
Puis une fois l'annonce passée , une révolte, pourquoi nous ? pourquoi après toutes ces années
de vie difficile, tourmenté, parfois si plaine de souffrance
mais si riche en amour !!!
Pourquoi, ??? je ne compte pas les jours ou j'ai craqués , pleuré tout mon chagrin en voiture, seul loin de tous ...
Cette histoire d'Amour elle la notre , oui elle est exclusive et la d'un coup...
je sais que je vais devoir avancer seul, combattre jour après jour pour faire reculer cette saleté de maladie qui ronge de l'intérieur
qui prend une à une ses cellules .
Ma fois, oui moi je m'en aperçois parce que personne ne la connais plus que moi
Elle fait illusion et on est en connivence continuel
Un regard, un signe de tête , elle se raccroche à moi comme à une bouée
dans cette océan, qui est la vie autour d'elle qui continue d'avancer
et d'avancer encore et encore ....
Main dans la main, on va faire tout ce que l'on à envie , tout et toute suite
pas demain, non !!!!
On parle, on évoque les souvenirs , je devient la dépositaire de ces morceaux de passé ...
J'ai une envie boulimique de tout noter, j'ai peur de passer à côté d'une histoire, d'un morceau de vie; de sa vie, de n'importe quel récits !! tous est précieux pour moi.
On traverse, les étapes de cette maladie qui sont autant de blessures que je reçois directement en plein cœur
Je rage, j’étouffe, je m'en veux de ne pas être plus solide, de pas savoir faire, de ne pas être plus ...
A secours, j'ai mal ...
Il faut mettre en place un traitement, mal-grès tous mes efforts , toutes mon énergie et tout mon Amour
Cette maladie continue sont travail de sape
Parfois j'ai une personne en face de moi, qui est tu ?
ma maman ne me parlerais pas comme ça ! c'est pas possible
Belle, droite, coquette tout en discrétion en modération, voilà l'image de maman
Une chose me ravage, la perte de son regard ....
Et puis le dialogue qui s’éteint, la déconnexion , fini nos échanges, je ne perd pas seulement ma mère, mais ma meilleur amie, ma confidente
J'ai tendance à la protéger , j'entoure mes bras autour d'elle ! au propre comme au figuré, je l'entoure au risque de trop en faire , je le sais !!!
mais dite moi vous
comment faire pour moins aimé ça maman, parce que moi là ... j'ai qu'une envie
faire que le temps s’arrête que les horloges nous oublies .
Je me sent comme au bord d'un précipice , demain me fais si peur
que j'en perds toutes mes certitudes
Je veux être la, jusqu'au bout .
Bien sur je suis perdue, c'est quoi le bout ?
Le bout de ma force, le bout de la vie, le bout de notre histoire d'Amour
Oui j'ai un grand travail à faire sur moi, des nuits à imaginé la suite
la suite ..... la suite seul
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Par hellonana le 29 Avril 2017 à 15:56
C'était un gamin, un gosse de Paris,
Pour famille il n'avait qu' sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanche
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d'acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :
Pour famille il n'avait qu' sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanche
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d'acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :
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"C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aime tant
Va quand je serai grand, j'achèterai au marchand
Toutes ses roses blanches, pour toi jolie maman"
Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l'hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d'avril parmi les promeneurs
N'ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant le pauvre mioche,
Furtivement vola des fleurs
La marchande l'ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :
"C'est aujourd'hui dimanche et j'allais voir maman
J'ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m'attend
J'ai pris ces roses blanches, pour ma jolie maman"
La marchande émue, doucement lui dit,
"Emporte-les je te les donne"
Elle l'embrassa et l'enfant partit,
Tout rayonnant qu'on le pardonne
Puis à l'hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit "Tu n'as plus de maman"
Et le gamin s'agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :
"C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
Et quand tu t'en iras, au grand jardin là-bas
Toutes ces roses blanches, tu les emporteras"
3 commentaires -
Par hellonana le 10 Mars 2017 à 18:29
Une nouvelle journée est comme une feuille blanche. Remplis la de couleurs et de personnages souriants ! Fais preuve d'imagination pour créer le plus beau des dessins ! Je t'envoie des crayons de couleurs virtuels pour embellir ta journée !
Chaque jour est un nouveau chapitre de la vie. Il nous apporte de nouveaux suspenses, de nouveaux personnages, de nouvelles énigmes à résoudre. Vis chaque instant avec passion afin d'écrire la plus belle des histoires. Je te souhaite une bonne journée !
Recette pour avoir une bonne journée. Ingrédients : Sourire, rires, bonne humeur, gaîté. Préparation : mélanger tous les ingrédients en quantité égale et verser le contenu dans votre vie. Résultat final : une merveilleuse journée !Le sourire c'est de l’électricité. La vie est une batterie. A chaque fois que tu souris la batterie se recharge et une belle journée s’enclenche ! Passe une excellente journée !
Chaque instant est un cadeau ! Voila pourquoi nous l'appelons le présent ! Bonne journée !Cadre Manola
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Par hellonana le 1 Octobre 2016 à 20:13
La Corrida
Les cuivres ont sonné dans le ciel de Séville,
Réveillant les ardeurs des fougueux Andalous,
Séduisants Hidalgos au regard qui pétille,
Aux lèvres mi-closes cachant des dents de loup.
De ces loups assoiffés du sang de leur victime,
Pauvre bête élevée pour n’avoir qu’un seul sort,
Et qui en un seul jour, en un combat ultime,
N’a jamais qu’un seul choix : y rencontrer la mort.
Il arrive au galop au centre de l’arène,
Effrayé par les cris qui montent des gradins
sa tête balance au son des tambourins.
Il regarde au lointain les capes couleur d’or,
Qu’agitent devant lui les banderilleros,
Il entend annoncer l’entrée du picador,
Qu’accueillent les vivats des aficionados.
Il ressent, au garrot, une brûlure intense,
Que provoque la pique enfoncée dans sa chair,
Douleur qui disparaît, puis revient la souffrance
La banderille a jailli semblable à l'éclair.
Le sang suinte alors de l’échine luisante
Du robuste animal, face au grand matador
Mesurant du regard cette masse puissante,
Qui gratte du sabot le sable au reflet d’or.
Puis se déclenche enfin une danse infernale,
La rouge muleta voltige devant lui,
Comme pour endormir cette force brutale,
Dissimulant le fer sur qui le soleil luit.
Le brillant torero place les véroniques,
Faisant virevolter le pauvre être affolé,
Tandis que dans les airs s’élève la musique,
Paso Doble endiablé que rythme les "Olé!".
Le silence est tombé, voilà que devant nous,
L'estocade a soudain fait tonner les bravos,
Quand devant son vainqueur il plie les deux genoux,
Qui nous dira jamais, ce que sent le taureau.
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Par hellonana le 1 Octobre 2016 à 20:10
Ma France
Français je suis, je m’en vante,
Et très haut, très clair, très fort,
Je le redis et le chante.
Oui, je suis Français d’abord.
Mais, n’ayez soupçon ni doute,
Pour le loyal que je suis,
La France, où mon âme est toute,
Ma France, c’est mon pays.
C’est mon foyer, mon berceau,
C’est le lieu de ma naissance,
Dans ce qu’il a de plus beau ;
C’est la terre où s’enracine L’érable national,
C’est le ciel où se dessine La croix du clocher natal.
La douce image de l’autre
Tremble encore dans nos yeux.
Laquelle aimé-je ? La nôtre ?
Je les aime toutes deux !
Indivisibles patries,
Ces deux Frances, pour toujours,
De tout notre coeur chéries,
Ne font qu’une en nos amours.
Qu’un lâche à sa race mente ;
Moi, je suis Français d’abord.
Je le dis et je le chante
Très haut, très clair, et très fort.
Mais, n’ayez soupçon ni doute,
Pour le loyal que je suis,
La France où mon âme est toute,
Ma France, c’est mon pays.
Nérée Beauchemin, Patrie intime
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Par hellonana le 1 Octobre 2016 à 19:56
J'ai adopté un HumainAujourd'hui
Ses yeux ont rencontré les miens alors qu’elle marchait le long du couloir en regardant avec appréhension les différentes cages.
J’ai ressenti immédiatement son manque et j’ai su que je devais l’aider.
J’ai remué ma queue, pas d’une manière trop exubérante pour ne pas l’effrayer.
Quand elle s’est arrêté devant mon enclos, j’ai masqué à sa vue le petit accident que j’avais eu au fond de ma cage.
Je ne voulais par qu’elle sache que je n‘étais pas sorti aujourd’hui.
Parfois, les employés du refuge sont tellement débordés et je ne voulais pas qu’elle pense du mal d’eux.
Elle a lu ma fiche d’identité et j’espérais qu’elle ne se serait pas trop triste à cause de mon histoire.
Je n’ai que le futur à envisager et je veux être utile dans la vie de quelqu’un.
Elle s’est mise à genoux et a fait des petits bruits de bisous vers moi.
J’ai frotté mon épaule et le côté de ma tête vers les barreaux afin de la consoler.
Ses doigts m’ont doucement caressé le cou.
Elle semblait désespérément rechercher une compagnie.
Une larme a coulé de sa joue et j’ai levé ma patte pour lui assurer que tout irait bien.
Très vite la porte de ma cage s’est ouverte et son sourire était si radieux que j’ai sauté dans ses bras sans attendre.
Je lui ai promis de prendre soin d’elle, je lui ai promis d’être toujours à ses côtés, je lui ai promis de faire tout ce que je pourrais afin de voir ce sourire rayonnant et ces yeux pétillants sur son visage.
J’ai eu tellement de chance qu’elle traverse mon couloir, il y en a tellement dehors qui ne sont jamais venu dans ces couloirs.
Tellement à sauver encore.
Au moins j’en aurai sauvé une.
J’ai secouru un être humain aujourd’hui.
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Par hellonana le 13 Mars 2016 à 15:33
Tu souffre en silence
Tu cache ta démence
Tu cries, tu rage à l’intérieur
Tu souris pour camoufler tes peurs
Tu garde la tête haute, comme si de rien n’était
Tu continues d’avancer, comme si tout était parfait
Le regard vide, mais envahi d’une lueur d’espoir
Que ce malheur s’estompe, que disparaisse ce noir
Chaque fois, tu retombes un peu plus bas
Chaque fois, tu y crois malgré que tu ne veuilles pas
Tu cherche quelqu’un ou quelque chose pour te raccrocher
Une petite attention, un petit signe pour continuer d’espérer
T’écris quelques phrases pour te libérer
T’écris quelques mots pour te soulager
Tu cherches à tout prix à te consoler
Un moyen, une solution pour ne pas sombrer.....
Pensé pour tous ceux qui souffre de cette maladie qui est la dépression, qu'elle soit déclarer ou bien enfoui au plus profond de soi, sournoise prête à éclater... en rémission, en crise aigu .....elle accompagne des milliers de gens.
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Par hellonana le 6 Mars 2016 à 16:45
Toi mon coeur
Je te perdrais un matin si tes galops vont trop loin.
Toi, mon coeur ta cage va se briser vers le bleu tu vas voler.
Toi, mon coeur je t'entends loin dans mes nuits j'ai parfois peur de ton bruit.
Toi, mon coeur danse avec le pas des morts au pays du temps qui dort ;
Lui, cet homme son temps s'arrêta soudain dans un accident de train.
Lui, cet homme son coeur quʼon m'a transplanté continue de voyager.
Lui, cet homme m'a ouvert son infini sa mort m'a donné la vie.
Lui, cet homme avec moi il marche encore peut être aime-t-il encore.
Juliette Clochelune
Si j’avais à donner
Un organe à ma mort Je donnerais mon cœur.
Lors de la panne finale J’aurais plus besoin de mon corps
J’apaiserais d’autres douleurs.
Donner de soi À notre vie finie
Pour faire de vous, de toi Un être à plusieurs vies.
Ce serait une chance De profiter de cette malchance.
Sauver des personnes En faisant don de soi
Y’ a pas mort d’hommes À part que je donne
De ma propre « pomme ».
Rien que pour vous, pour toi.
Servez-vous, Même de mes artères
Car j’en aurai que faire.
En moi, prenez Mes poumons et mon foie,
Comme si on changeait une courroie.
Grâce à cet honorable geste
À la vie, vous reviendrez
Et en vous, je resterais
Comme si de mes cendres,
Je renaîtrais !
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