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Par hellonana le 9 Décembre 2016 à 16:04
Maintenant la vapeur est à l'ordre du jour.
Tout marche par son aide !
Est-ce un bien pour le monde ?
Pour bien choisir sur terre où toute chose abonde,
Faut-il donc se hâter, lorsqu'on en fait le tour.
On vole désormais sur la terre et sur l'onde ;
On fait sans y penser l'aller et le retour ;
On singe le soleil qui, lorsqu'il fait sa ronde,
Mesure en une nuit le céleste séjour.
Ce ne peut être un bien que dans ces temps de guerre,
Où sont anéantis ces hommes qui naguère
Marchaient contre la mort sans reproche et sans peur,
Si trompant l'ennemi par sa subtile ruse,
Refaisant des guerriers autant que l'on en use,
L'amour toutes les nuits marchait à la vapeur !
La vapeur de Jules Verne
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Par hellonana le 17 Novembre 2016 à 13:31
Poème de Youla Alpha
Sur une route
Quelque part dans le monde,
Une personne cherche son chemin,
Dans les confins du désespoir sans idée,
Ce trouve le parcours d’une amertume sans fin.
Tristement affectés des idées néfastes qui le suive,
Obliger de découvrir une solitude malheureuse,
En traversant ses territoires remplis d’ivres,
Apparaissent quelques émotions douloureuses.
Tenant a ses rêves,
Ne laissant apparaître aucune émotion,
Une force aveuglante trace sa voie,
Sur une route immaculée,
Y’a une soif de liberté,
Qui n’absorbe que la bonté de l’humanité,
Donne du courage a ces carrefours orphelins de gaîté,
S’accroche à son rêve vert une route remplie de buée.
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Par hellonana le 8 Mai 2016 à 19:03
Ho hé, hisse et ho !
Quelle belle vie que celle d’un mousse
Quand on est l’fils de Barbe-rousse !
Dans le petit foc, je m’la coule douce,
Rien à craindre, personne ne m’pousse.
J’adore border la brigantine,
Courser le chat dans la cuisine,
Faire du trapèze sur la grande vergue,
Danser la gigue avec l’vieux bègue.
Toujours l'premier dans la hune
J’hume les embruns, siffle la lune,
J’arrache les plumes du goéland,
Echoué sur l’gaillard d’avant.
Et quel bonheur quand vers midi,
Surgit la proue d’un ennemi.
Je donne l’alerte, sonne le branle-bas,
Puis file en cale, traquer les rats.
Tandis qu’au loin, on s’tue et pille,
Je joue aux billes, parfois aux quilles
Et guette au chaud l'moment divin,
Où ‘Pa ramène un gros butin.
Sur l’pont de l’aube au soleil couchant,
La vie d’pirate n’est qu’un jeu d’enfant.
Quelle belle vie que celle d’un mousse
Quand on est l’fils de Barberousse !
Elsa
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