L’innocence face à la vie,

tout est permis ! Tout est possible !

L'amour, l'aventure, les voyages !

Les rencontres, les projets, les envies !

Rien n'est impossible, il suffit de tendre la main !

Prend cette vie, vas y c'est la tienne !

Ne gaspille rien, ni le temps, ni les désirs !

Vie la ta vie !

Blottie contre l'épaule de ma maman, je l'écoutais me raconter la vie.

Ces grands mystères, ces pourquoi et ces comment !

Toutes ces choses, compliqués pour une petite fille.

Jamais elle ne ma dit "c'est une histoire pour les grands" .

Elle me parlait avec son cœur, en utilisant des mots à ma portés.

Avec le temps, je l'en remercie, même si parfois, la vie ma parue bien difficile et cruel !

J'ai vite pris de l'assurance, vite fait mes choix, vite compris ce qui me conviendrais !

L'hésitation : je ne connaissais pas ! l'envie de vivre, ça je connaissais.

 Mais, jamais ! je n'étais aussi bien, que là au creux de son épaule. 

Aujourd'hui, c'est moi, qui lui explique la vie ! les pourquoi et les comment, avec des mots simples de son temps.

Jamais je ne lui cache rien, inutile ! elle sait lire à livre ouvert sur mon visage ! 

Héllonana !

Sur la Fleur du temps, la tristesse s'envole.

Mais il reste toujours, la fleur du souvenir.

Toutes les blessures finirons par cicatriser.

Mais laisserons des marques à tout jamais.

La peau est comme l'âme, elle garde à tous jamais les souvenirs.

Hellonana.

Toi, qui à tant à dire !

Ne garde pas tes douleurs, elles sont trop lourdes à porter.

Comme des valises que tu transportes d'années en années.

Pause toi, et couche ces maux sur le papier.

Ne cherche pas tes mots, laisse glisser la plume.

Lâche les liens, qui te retient.

Remplie des pages et des pages, tu devient plus légère.

A si tu avais pus te douter de ce bien être, que tu ressent.

Libre à toi, de garder ou de déchirer ces écris.

Car ta souffrance t'appartient et tu peut en faire ce que tu veux.

Écrire c'est crier en silence !

Hellonana.

Le Choix

Parfois la souffrance est tel,

que l’on ne décide plus de son chemin.

C'est ce mal être, qui vous emporte.

Lorsque les cris ne sont pas écoutés.

Et que les larmes de révoltes sont épuisées.

Reste la fuite, dans n'importe quel direction, juste loin.

"Utopie, il ne suffit pas de fuir pour oublier."

Cri le temps qui passe.

Une nouvelle douleurs à pris la place.

Le manque, l'absence, l'abysse des profondeur de l'âme.

Aucun retour en arrière, aucune solution.

Mourir, ou continuer ! que faire.

La vie est alors la plus forte et offre un nouveau départ !

Une nouvelle vie qui vous sourie.

Une petite main qui prend la tienne.

Pour continuer sur la route de la vie

Hellonana.