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Les larmes
Doucement, elles apparaissent sur le bord de tes cils…
Glissent et s’évanouissent autour de ta paupière…
Elles roulent, perles de nacre, sur ton visage…
Elles libèrent ton cœur…
Elles apaisent ton cœur…
Humble comme une goutte de rose matinale…
Simple comme une goutte de pluie…
Transparente et riche comme un cristal…
Elle apaise, réconforte et rafraichit…
Larme…que d’espoirs tu portes en tes flancs…
Larmes…diamants de tendresse et de détresse…
Tu réconfortes tous ces cœurs torturés…
Leur permets de reprendre une respiration…
D’espérer à demain et à ses tendresses…
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Immortel de Lara Fabian
Si perdue dans le ciel
Ne me restait qu'une aile
Tu serais celle-là
Si traînant dans mes ruines
Ne brillait rien qu'un fil
Tu serais celui-là
Si oubliée des dieux
J'échouais vers une île
Tu serais celle-là
Si même l'inutile
Restait le seuil fragile
Je franchirais le pas Immortelle,immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi Immortelle, immortelle
J'ai décroché un bout de ciel
Il n'abritait plus l’éternel
Je meurs de toi
Si les mots sont des traces
Je marquerais ma peau
De ce qu'on ne dit pas
Pour que rien ne t'efface
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Les cieux nous offrent tant
Tant d’étoiles au firmament
Laquelle me touche le plus ?
Celle qui représente ma maman !
J’aime plonger mon regard vert
Dans ces nébuleuses de l’Univers
Laquelle me dicte le plus ?
Quelle est l’âme de mon papa ?
Tu vois ce sont les âmes de nos disparus
Qui veulent qu’on ne les oublie plus
Quelle est celle qui lui ressemble le plus ?
Le ciel le soir m’attire toujours
Il est tant le reflet de mes amours
Tant animé de leurs présences
Je veux croire en leur réminiscence
Ma tête tourne lorsque je lève les yeux aux cieux
Prise de vertige je regarde le coucher du soleil
Mes yeux chercheront toujours ces étoiles
Et éloignent toutes les incertitudes
Je sais qu’elles seront toujours avec moi
Jusqu’à la soirée de mes jours
L’âme de mes amours
Qui attendent mon retour
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Consolation
Consolation
Pourquoi pleurer lorsque la rose,
Penchant son calice embaumé,
Meurt, fraîche encore, et se repose
Sur le front qu'elle a parfumé ?
Pourquoi pleurer quand, de la terre,
Une âme blanche, un esprit pur
Secoue, en partant, sa poussière
Pour monter ver le ciel d'azur !
Il faut des roses qui couronnent,
Il faut des parfums pour le ciel ;
Il faut des âmes qui rayonnent
Près du trône de l'Éternel :
Dieu, qui sème dans cette vie
Les âmes ainsi que les fleurs,
Choisit la rose épanouie
Et l'âme aux suaves blancheurs.
Et, le soir, lorsque tout repose,
Un ange vient, silencieux :
Au jour, on cherche en vain la rose,
Et l'âme plane dans les cieux.
Napoléon Legendre
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Je suis très émue de vous dire que j’ai bien compris l’autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser.
Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par vous.
Je suis prête à vous montrer mon affection toute désintéressée et sans cal- cul, et si vous voulez me voir aussi vous dévoiler sans artifice mon âme toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme sincère, capable de vous offrir l’affection la plus profonde comme la plus étroite amitié, en un mot la meilleure preuve que vous puissiez rêver, puisque votre âme est libre.
Pensez que la solitude où j’habite est bien longue, bien dure et souvent difficile.
Ainsi en y songeant j’ai l’âme grosse.
Accourez donc vite et venez me la faire oublier par l’amour où je veux me mettre
NB : Relisez-la en sautant les lignes paires GEORGE SAND (1835)
Lettre envoyée par Aurore Dupin (romancière française du XIXe siècle), dite George SAND (son nom de plume) à Alfred de MUSSET (écrivain français). Cette lettre est authentique. A vous de découvrir l’érotisme caché.
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Dis-moi Pourquoi maman
Dis moi pourquoi maman, les filles de mon école
Me désignent du doigt, disent que je suis folle
Je les regarde rire ou jouer à cache-cache
Quand je leur tends les mains, elles me rient puis me lâchent
Mais tu me dis maman Qu’je suis un accident
Que je suis comme lui C’est pour ça que tu cries
Dis moi pourquoi maman, quand au lit je t’apporte
Ton petit déjeuner, tu me fermes la porte
Dis moi pourquoi maman, les autres me racontent
Que pour les endormir, leurs mères lisent des contes
Avant d’être embrassées, avant d’être bordées
Moi je suis trop souillon, je n’ai pas de baisers
Mais tu me dis maman Qu’je suis un accident
Qu’ tu voulais pas de moi, C’est pour ça que tu m’ bats
Dis moi pourquoi maman, en ce dimanche de mai
Des femmes en blouse blanche, viennent soigner mes plaies
Dis moi pourquoi maman, je cours après les hommes
Pour que même s’ils m’aiment pas, ils me soufflent « t’inquiètes pas »
Tant pis si je suis triste, quand ils font leur besogne
Pourvu que doucement ils me disent qu’ils s’ront là
Quand tu viendras maman Me dire que je suis moche
Que je suis née comme ça Bonne à rien et sale mioche
Dis moi pourquoi maman, j’enfonce encore une fois
L’aiguille des illusions dans le creux de mes bras
Dis moi pourquoi maman malgré tes cheveux blancs
Quand mon fils de l’école veut que tu le consoles
Parce que ses copains sont allés un peu loin
En crachant sur un môme que, lui, il aime bien
Tu lui réponds maman Que les accidents
Ça peut pas s’faire aimer Que c’est bon à jeter
Alors pourquoi maman, cet enfant qu’je ne voulais pas
Pourquoi je l’aime tant, dans le creux de mes bras
Un Texte que j'ai trouver sur le net, tout enfant est un don du ciel !
Et non pas des accidents, des erreurs, des poids !!!
Moi qui aurait tan aimer avec un enfant, ce texte me révolte !!!!
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J’ai demandé à la vie …..
J’ai demandé à la vie de me donner la force :
Elle m’a donné des épreuves à traverser.
J’ai demandé à la vie de me donner la sagesse :
Elle m’a donné des problèmes à résoudre.
J’ai demandé à la vie de me donner la richesse :
Elle m’a donné un cerveau et deux bras pour travailler.
J’ai demandé à la vie de me donner du courage :
Elle m’a donné des défis à relever.
J’ai demandé à la vie de me donner de l’amour :
Elle a mis sur mon chemin des gens difficiles à comprendre.
J’ai demandé à la vie de me faire des faveurs :
Elle m’a donné des opportunités.
Dans ma vie, je n’ai jamais reçu, ce que j’ai demandé,
Mais j’ai trouvé et obtenue la force de ma relever
Et de garder la tête haute
Anais
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Je ne veux plus me nier,
Nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes.
Je veux être respectée, écoutée, entendue.
J'ai le droit de respirer, de me dire,
J'ai le droit de dénoncer, de penser, de crier,
J'ai le droit d'exister. Je veux vivre debout,
Être en paix avec moi-même.
Je veux grandir, changer, m'aimer,
Je veux rêver, rire, m'épanouir.
J'ai besoin d'air, j'ai besoin de m'écouter.
J'ai besoin de décider pour moi, avec moi,
En fonction de mes besoins à moi,
De ce que je veux faire de ma vie.
J'en ai marre de vivre en fonction des autres,
Pour être aimée.
J'en ai marre de faire des courbettes,
Pour acheter la paix ou ne pas être seule.
Je choisis de vivre, de vivre ma vie
Je choisis de vivre mes sentiments,
Mes émotions, mes rêves, mes espoirs.
Je veux me vivre jusqu'au bout, telle que je suis.
Je me réserve le droit d'essayer, de me tromper,
De recommencer, d'essayer encore, et de réussir.
Pendant la transition, J'accepte ma souffrance, ma déception,
J'accepte mon insécurité, mon désespoir.
J'accepte ma colère contre les autres,
On ne m'avait rien promis.
J'accepte ma colère contre moi,
De m'être si longtemps niée et oubliée.
Je suis en sevrage, car je sais qu'avec le temps,
Ces sentiments vont s'atténuer et disparaître,
Remplacés par le pardon.
Je sais qu'avec le temps,
Mon coeur va guérir d'avoir mal aimé.
Et peut-être qu'avec le temps,
J'accepterai d'oser à nouveau,
De tenter l'expérience, D'aimer et d'être aimée.
Un Texte trouver sur le net, qui résume l’existence de la femme !
La Liberté, d'être soi même, peut devenir une tâche difficile pour certain ! On se croit libre, mais on doit toujours ou souvent être la pour les autres avant, être celle qu'il attende , et se perdre un peut ou bien beaucoup dans cette spirale infernal !
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Garde au fond de tes yeux
Les larmes qui coulent dans ton âme
Ne te retourne pas face aux lames
Qui lancinent ton esprit d’un air vicieux
Admire les myriades d’étoiles
Qui constellent ta vie,
Considère-les comme des rêves inachevés,
Que tu conserves pour ta propre survie
Afin que tu aies un but dans ta destinée.
N’oublie pas la douce mélodie
Qui jadis gardait tes yeux de jade éveillés,
Garde en toi ce souvenir béni
Pour que jamais tu n’oublies
La vie dont tu rêvais.
Pense aux perles de douleur
Qui ont martelé ton dos sans relâche
Et remercie-les avec ferveur
Pour leurs leçons qui, en toi, se cachent.
Chevauche la brise du temps
Sans te soucier de ce qui peut t’arriver
Libère toi des chaînes qui t’emprisonnent
Depuis longtemps, et, lentement, délicatement,
Vole vers l’autre rive.
Auteur inconnu..
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J'attends comme la fleur
Attend la rosée du matin
Quelques gouttes de bonheur
Pour y noyer mon chagrin.
Mon cœur est un sentier
Pavé d'amour et de faiblesse
Sur lequel tu t'es promené
Avec une infini tendresse
Et chaque pas que tu as fait
T'offrait une fleur de printemps
Et tout en marchant, tu cueillais
Comme un bouquet de sentiments.
"Aubrylia"
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