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    A vrai dire, à dire vrai

    Nashmia Noormohamed

    Aujourd’hui, je me suis levée,
    Et j’ai vu le désordre de ma vie ;
    Toi, l’homme que j’ai aimé,
    Durant tant d’années, je t’ai chéri.

    Maintenant, je me trouve face à l’ennui,
    Et les sentiments qui étaient miens,
    Ont disparu de mes récits ;
    Ennui de tout et envie de rien.

    Vie à l’envers et les revers d’une vie.
    Amour à prendre et apprendre à aimer,
    Cœur de pierre et cris épris,
    Malaise mal à l’aise d’une blasée.

    Où suis-je ? Qui suis-je ?
    Et pour qui suis-je,
    Cœur à prendre, cœur épris,
    D’un sentiment de déjà péri

     

     

     

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    L’Ami du voyage

    Jean-Charles Dorge

    Nous avons d’un seul cœur entrepris un voyage ;
    C’était encore hier, à peine rencontrés.
    Une voix nous souffla : « Tous deux, vous partirez
    Ensemble partager la joie d’un seul sillage… ».

    L’amitié nous porta vers d’inconnus rivages
    Sur des flots incertains maintes fois chavirés.
    Si nous voguions parfois, opposant nos beauprés,
    Au port se retrouvaient nos mats au fil de l’âge.

    Nos vies s’entrecroisaient aux sources de l’humain
    S’attendant l’une l’autre à l’angle d’un chemin
    Pour s’offrir tour à tour le miroir de soi-même.

    Puis un funeste jour il ne resta qu’un seul…
    Mais la voix de jadis lui dit : « Ton ami t’aime
    Aujourd’hui comme hier. Ignore le linceul ! »

     

     

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     Écrire, sans savoir le pourquoi,

    Mais écrire ,ça va de soi.
    J'écris mes moments de tristesse,
    J'écris mes moment de tendresse,
    J'écris mes moments de détresse,
    Mais aussi les moment de bonheur,
    Les sentiments et les humeurs.
    J'exprime tous ce que je vois et ressens,
    J'écris, depuis tous ce temps.
    De l'humour aux sentiments sains,
    Jusqu'à la rengaine et la peine,
    En passent par la haine.
    De la peur à l'effroi,
    Du cœur a l’émoi,
    Alors j'écris quoi qu'il en soit
    J'écris, mais pas n'importe quoi,
      Écrireà la fois, sans foi ni loi ,
    Mais écrire en toute bonne foi.
    Écrire, tout simplement.

     

     

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     La vie a deux, comme c'est merveilleux

    L'amour qui nous unit est si profond et tendre
    Ton regard à des reflets de douceur
    Mes yeux plongent dans les tiens et je t'appartiens
    Mon cœur verse des larmes de bonheur
    Et pour récompenser l'amour que tu me portes
    Une jolie fleur vient égayer la table de notre cœur
    Les années ont passées et cet amour passion
    Est devenu tendresse
    Car nous avons vécue une histoire que peut de gens ont put vivre
    Un amour profond et unique
       Et celui de nous deux qui restera
    Garderas dans son cœur et son âme
    Les souvenirs d'un amour magique
     

     

     

     

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    LE BONHEUR


      Ça fait du bien
    Si vous ne savez pas semer le bonheur apprenez vite
      Ça vous fera du bien
    Si vous ne savez pas sourire a la vie
    Tournez vous vers demain
    Quelqu'un vous tendra la main
    Si la vie vous semble triste parfois
    Pensez qu'il y a toujours
    Un ou une amie
    Qui vous rendra le sourire
    Si le désespoir prend le dessus
    Ayez confiance
    Il faut apprendre que
    Dans la vie il y a des embûches
    Apprenez a lutter

    < marysette <

     

     

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    L'amour ce n'est pas

     

    L'amour ce n'est pas ce qui est en toi ce n'est pas ce qui est en moi !

    c 'est ce qui existe entre nous.

    L'amour ce n'est pas ce que je suis pour toi ce n'est pas ce que tu es pour moi !

    c'est ce qu'est le monde pour nous.

    Cette contrée de vivre qu'on appelle le monde

    Ce pays d'agir et de parler qui nous unit

    Comme le geste d'embrasser unit les souffles.

    Le monde avec nos yeux qui font le jour

    Avec nos doigts qui y dessinent le temps

    qui passe avec nos doigts

    qui y fabriquent le temps

    qui passe...

    L'amour cette trace de nous dans le monde.

    Marc Delouze Read 

     

     

     

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    Les oiseaux

     

    Les larmes sont une sorte d'oiseaux

    Qui habitent le cœur des êtres.

    Quelquefois, Elles apparaissent en bandes,

    Mais souvent une seule d'entre elles

    Vient se poser sur le bord d'une paupière.

    S'envolant de nous,

    De nos cils qui bordent les paupières,

    Ces oiseaux-larmes entraînent sous leurs ailes

    Cette douleur de taille comme des pierres

    Qui le cœur si lourd à porter.

    Mais pour se rendre jusqu'à nos yeux,

    D’où ils s'échappent,

    Ils doivent lutter contre les vents de l'indifférence et de l'orgueil ;

    Ceux là qui,

    Quelquefois,

    Attrapent les oiseaux dans un grand filet et les gardent prisonniers

    Jusqu’à ce qu'ils restent étouffés

    Comme une boule nouée au creux de la gorge.

    Ne capturons jamais d'oiseaux-larmes,

    Ce sont des messagers du monde de notre cœur.

    Ils ont quelque chose à dire,

    À montrer aux autres.

    Les oiseaux- larmes chantent la beauté de notre être.

    Lorsqu'une larme jaillit des yeux d'un être

    Et perle tendrement

    Pour se laisser glisser sur la joue en la caressant,

    Cueillez-la d'un baiser.

     

    paroles d'amour ..

     

     

      

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    la poussière des regrets

     

    Quelque soit ton passé, quelles que soient tes barrières,

    Tout cela est bien loin, secoues-en la poussière,

    Fais souffler sur ta vie un vent de volonté.

    La poussière des regrets sera vite balayée.

    La poussière des regrets est un mal ennuyeux,

    Elle pénètre partout et fait pleurer les yeux,

    Elle se glisse en douceur dans les moindres recoins

    Pour nous faire étouffer, suffoquer de chagrin.

    Elle se dépose en une épaisse couche à terre,

    Où demeurent nos pas quand on regarde en arrière,

    Elle applique au regard un voile obscurcissant,

    Qui cache la lumière et rend triste en dedans.

    Elle s'accumule d'autant mieux qu'on ne bouge pas

    Et puis un jour, on se sent figé sous son poids.

    Ne laisse pas ton cœur s'étouffer sous la cendre,

    Respire et tu verras que le feu va reprendre.

    Si tu doutes, contemple la vie dans la nature,

    Les oiseaux savent bien qu'en haut, l'air est plus pur,

    Aussi, vois comment ils prennent soin de leurs ailes,

    Pas une tache ne souillera leur grâce dans le ciel.

    Et de plus, au cas où tu n'y as pas pensé

    Aucun d'eux ne regarde le sol pour s'envoler

     

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    Les pensées d'un animal

     

    LES PENSEES D'UN ANIMAL

      Je ne sais pas lire

    Je ne sais pas écrire

    C’est normal Je suis un animal

    Je fais partie D’une grande famille

    Mon maître qui est si gentil

    M’attriste toujours quand il est parti

    On s’entend bien, nous deux

    Je suis parfois heureux

    Quand il me parle, toujours, je comprends

    Mais moi, jamais il ne m’entend

    Sait-il seulement, que j’ai peur

    De perdre bientôt mon bonheur

    Oui j’ai peur, quand je pense

    A ce mot qu’il dit souvent «vacances»

    Cela veut dire que pour moi

    Bientôt, je n’aurai plus de toit

    Pour m’abriter Pour me réchauffer

    Je ne pense même pas

    A tous ces bons repas

    Que je n’aurai plus

    Puisque je serai bientôt perdu

    Pourtant, je tiens si peu de place

    Mais à quoi bon, hélas

    Je ne puis te parler

    Est-ce possible… tu vas m’abandonner;

    Bien sûr, je ne suis qu’un animal

    Mais, ne plus te voir me fait mal

    Comment te le faire savoir

    J’essaye pourtant chaque soir

    Quand, sur tes pieds

    Je suis couché

    Jamais tu ne m’as vu pleurer

    Pourtant, mes yeux, souvent sont mouillés

    Et si je te suis partout

    C’est pour te faire comprendre malgré tout

    Que peut-être cette fois, je ne pourrai résister

    Et de mourir doucement abandonné

    De toi, mon maître si grand

    Que l’on dit, intelligent

    Me fait déjà souffrir

    Parce que «vacances»

    Pour moi, c’est peut-être mourir.

     

     Raymond Joniaux

     

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    Enfant, je me suis perdue
    dans la chevelure des fées.

    Dans leurs sentes blondes
    aux mouvants paysages
    en forme de mirages
    je me promenais.

    Dans leur forêt douce           
    aux odeurs de sève et de mousse,
    je cherchais la fleur d’or,
    que l’ombre subtile des arbres
    me cachait,

    dès que je m’en approchais.

    J’écoutais le cristal argentin
    du chant flûté
    de l’oiseau au nom de destin.
    J’étais songeuse et triste
    sans rien y comprendre,
    mais mon âme

    tressaillait de douleur
    et vivait avant moi
    tous mes chagrins.
    Je m’endormais confiante,
    au creux d’épaisses racines,
    mais des tempêtes
    aux doigts de sorcières
    me réveillaient.
    Transie,
    j’allais errante,
    sans abri,
    en des chemins étranges.

    Enfant, je me suis perdue
    dans la chevelure des fées
    et jamais ne suis revenue
    de ce lieu foisonnant de songes
    où la vérité s’éveille en éclair
    dans le silence trompeur
    d’une paisible après-midi d’été.

     

     Roger Christofol

     

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