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Je guerroie armée de motsJe les tire à la frondeJe les lance au javelotJe fais flèche de toute lettreJe suis fort habile à l’arcEt comme Jeanne d’ArcJe peux monterSur mes grands chevauxTremblez fauteurs de guerre !Le feu nucléaire m’est asserviEt les missiles grammaticauxFont partie de mon arsenalTremblez, ogres et vautoursJe vais lancer contre vousLes feux de mes consonnesEt les balles de mes voyellesVos jours sont comptésCar secondée par JupiterJe lancerai contre vousLa puissance de la foudreLes éclairs de mon verbeVous foudroierontEt mes mots roulerontComme tonnerre !Sous l’égide d’AthénaJ’avance casquéeEt pleine d’audaceJe guerroie armée de mots !
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Mon Nombril reste ma plus belle cicatrice
Il me rappelle que j’étais attaché à ma mère
Avant même de vivre !
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J’aimerais être poète
J’aimerais être poète…
Moi… qui écris mes pensées…
Pour ne pas les oublier…
J’essai… de vivre de peut-être…
Oui… ces peut-être de rêveurs…
Qui se nourrissent de virtuels…
Où les mots attendent leur heure…
Pour l’assemblage du rituel…
Un poème… est-ce un parcours ?...
D’un cheminement de pensées ?...
En quelques vers pour faire court ?...
Merci … ETRES DE LUMIERES…
Merci… muse…crayon… cahier…
Merci…circonstances qui errent…
Oh !... voici déjà la fin…
Comment vais-je le terminer ?...
Pour que le poème soit plein…
J’espère qu’il vous aura plu…
Ce développement lu.
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Que ce soit le jour ou la nuit
Que ce soit la chaleur ou la pluie
Je t’offre mon poème et ma prose
Uniquement, à toi ma rose
Ma chère rose de toutes les roses
Dans mon cœur tu te poses
Ta vie c’est mon nid
Ca suffit que tu souries,
Que ce soit le jour ou la nuit
Que ce soit la chaleur ou la pluie
Tu es la rose de mon jardin
Je t’arrose avec mes mains
Je te mets dans mon cœur
Je te couronne de toutes les fleurs
Tu es ma prose et ma rose
Au creux de mon cœur tu te poses;
Que ce soit le jour ou la nuit
Que ce soit la chaleur ou la pluie
Tu es ma rose qui éclos
Dans mes veines et mon sang
Tu es princesse de toutes les roses
Tu es ma vie et ma raison
Tu t’envoles et tu te poses
Comme le papillon qui se repose
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Les jours et les nuits passent.
Tu es là devant moi,
J'étends ma main pour te toucher.
Mais elle rencontre le vide.
Je crie ton nom mais je n'entends que l'écho.
Quand te reverrai-je, ma tendre et douce rose?
Mon cœur s'étire et se fane à cause de ton absence.
Tu as illuminé ma vie l'espace d'un soir.
Tu as suscité l'espoir dans mon cœur.
Et te voilà partie loin, très loin de moi.
Te reverrai-je un jour?
Ma rose, la reine de mes rêves.
Mon amour pour toi n'a pas tari.
Le temps efface les traces même sur les rochers.
Mais tes souvenirs en moi ne s'estompent jamais.
Tu es tellement ancrée dans mon cœur.
Que j'ouvre les yeux et je te vois.
Je ferme les yeux, je te vois.
Mais où es-tu, princesse charmante?
Je t'aime et je t'aimerai encore et toujours.
- Olivier Mukendi -
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Ah ! Si vous saviez comme on pleure
De vivre seul et sans foyers,
Quelquefois devant ma demeure
Vous passeriez.
Si vous saviez ce que fait naître
Dans l'âme triste un pur regard,
Vous regarderiez ma fenêtre
Comme au hasard.
Si vous saviez quel baume apporte
Au cœur la présence d'un cœur,
Vous vous assoiriez sous ma porte
Comme une sœur.
Si vous saviez que je vous aime,
Surtout si vous saviez comment,
Vous entreriez peut-être même
Tout simplement.Clic pour vérifier
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Tous deux, pour nos amours invoquons le mystère,
Cachons à tous les yeux nos entretiens si doux ;
Car l'amour, vois-tu bien, c'est la fleur solitaire,
C'est l'oiseau qui s'enfuit au regard des jaloux.
Tous deux, quand le printemps ornera les prairies,
Pour mieux nous sentir seuls loin des bruits d'ici-bas,
Nous irons épancher nos douces rêveries
Sous les bosquets en fleurs où l'on parle tout bas.
Tous deux, nous goûterons des amours infinies,
Ma main pressant ta main, mes yeux cherchant tes yeux,
Nos cœurs se parleront sur nos lèvres unies
Et nous irons un jour ensemble vers les cieux.
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Bonjour mon cœur, bonjour ma douce vie.
Bonjour mon oeil, bonjour ma chère amie,
Hé ! bonjour ma toute belle,
Ma mignardise, bonjour,
Mes délices, mon amour,
Mon doux printemps, ma douce fleur nouvelle,
Mon doux plaisir, ma douce colombelle,
Mon passereau, ma gente tourterelle,
Bonjour, ma douce rebelle.
Hé ! faudra-t-il que quelqu'un me reproche
Que j'aie vers toi le cœur plus dur que roche
De t'avoir laissée, maîtresse,
Pour aller suivre le Roi,
Mendiant je ne sais quoi
Que le vulgaire appelle une largesse ?
Plutôt périsse honneur, court, et richesse,
Que pour les biens jamais je te relaisse,
Ma douce et belle déesse.
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